D’origine syrienne, Nada a passé sa jeunesse au bord de la Méditerranée. En 2008, elle a jeté l’ancre sur les rives du Rhône et de la Saône, à Lyon, pour faire une thèse de doctorat en sémiotique littéraire, soutenue en 2015, et elle y est restée. Deux aventures professionnelles lui ont permis de faire voile vers sa langue maternelle : la Fabrique Européenne des traducteurs en 2013 (Arles-Marrakech) et l’enseignement d’arabe à l’École Normale Supérieure de Lyon entre 2014 et 2016. Aujourd’hui, elle trace son chemin, portée par la brise du Levant.
Déjà parus au Port a jauni : traduction en arabe de…
Terrains vagues (poèmes de Géraldine Hérédia, illustrations de Benoît Guillaume)
Macadam – Courir les rues (poèmes de Mo Abbas, illustrations de Julien Martinière)
Par hasard (poèmes de Ramona Badescu, illustrations de Benoît Guillaume)
Poèmes de roches et de brumes (poèmes de Carl Norac, illusrations d’Arno Célérier)
Les chaises (poèmes de Rapahële Frier, illustrations de Clothilde Staës)
Sauvage (histoire de Layla Zarqa, illustrations de Salah Elmour)
Poèmes sur un fil (poèmes de Géraldine Hérédia, illustrations de Clothilde Staës)
© dessin de Tamar Katrib